Denis Coderre, qui aime le "je"

Denis Coderre, qui aime le "je"
Je veux dire, regarde, si je n'avais pas parlé d'itinérance en 2013, on n'en parlerait pas aujourd'hui. Je comprends qu'il faut parler plus aux «nous» qu'aux «je», mais le «je» a fait des choses quand même.

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