Entrevue avec Kevin de Laval, fou de la F1

N.L. : Cher Kevin, d’où vous est venu le goût de la formule 1 ?

K.L. : Lorsque j’avais à peine quelques mois, mon papa me laissait prendre le steering de son Chevrolet sur la 440.

N.L. : Donc chauffer une Formule 1 Chevrolet serait pour vous un de vos plus grands rêves ?

K.L. : En effet Normand. J’y pense souvent.

N.L. : Qu’est-ce que vous aimez de la F1 ?

K.L. : Le bruit, l’odeur de gaz et la senteur de pneus brûlés.

N.L. : C’est tout ?

K.L. : Les pitounes, la bière et les casquettes de Ferrari. C’est magique.

N.L. : Êtes vous capable de convertir des litres au 100km en des miles au gallon sur le fly ?

K.L. : Oui.

N.L. : Certain ?

K.L. : Oui.

N.L. : Combien avez-vous de voitures chez vous ?

K.L. : C’est personnel.

N.L. : Que pensez-vous des marmottes de l’île Notre-Dame ?

K.L. : Ça rajoute du piquant au show.

N.L. : Qu’est-ce que vous aimez de Laval ?

K.L. : Les chars montés, les mags chromés, les speakers qui font du bruit.

N.L. : C’est tout ?

K.L. : Les viaducs, le fuzzy, les p’tites mères.

N.L. : Qu’est-ce que vous aimez de Montréal ?

K.L. : Aller su Crescent.

N.L. : Qu’est-ce que vous pensez des petrolières ?

K.L. : Non mais c’est-tu des maudits voleurs ?

N.L. : Il paraît que les chauffeurs de F1 perdent 5 lbs d’eau durant une course, en tout cas si on se fie au seul commentaire de mon seul article sur la F1.
Qu’en pensez-vous ?

K.L. : J’essaie moi aussi de maigrir de cette façon.

N.L. : Dernièrement sur les internettes, la mode c’est d’être un gars qui a des relations sexuelles avec des voitures. Est-ce que ça vous est déjà passé à l’esprit ?

K.L. : J’aime mieux les orgies avec des prostituées à caractère nazi.

N.L. : Merci Kevin et bonne chance dans votre carrière de fou de la F1.

K.L. : Félicitations pour votre programme.

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