Fleury et Letang, 2 grands traîtres à la nation québécoise
La série Canadien-Pittsburgh me fait penser à un film de soft porn. Ça prend du temps avant d’arriver au punch final, mais on sait tous comment ça va finir depuis le moment où on a pesé su play. Oui, oui, oui. Mais au-delà des considérations pornographiques et masochistes de ce duel, il y a celle que je me permettrai de qualifier de socio-historique, la traîtrise à la nation, même si je sais que je vais en perdre une couple en l’écrivant.
Parlant d’en perdre une couple justement, qui sont les responsables des défaites de Canadien depuis le début de ce film de cul, hein ? Oui madame, mistress Fleury et mistress Letang. Des agaces socio-identitaires de chez-nous qui ont décidé de revirer leur chandail de bord parce que le ticket de la souveraineté leu piquait dans le dos. C'est comme l'exode des cerveaux, avec pas de cerveaux.
Té cas, c’est pas Maxim Lapierre qui aurait fait ça, ni Maxime Talbot, lui qui joue tellement mal depuis le début de la série qu’on dirait qu’y joue de notre bord. De toute façon, c’est bien connu, “les maximes constituent la sagesse des nations”, disait Pierre-Augstin Caron Beaumarchais.
Comme le beuglait Munger hier soir après avoir fini son six pack, "moi je les pendrais par le jack-strap ces deux &%?#%-là". Personnellement, j’aime mieux m’en remettre à Aristote et à ses syllogismes pour asseoir de telles opinions, car on le sait, de la marde, enrobée de science (mettons), ça passe toujours mieux.
Prémisse majeure : Tous les traîtres devraient être pendus.
Prémisse mineure : Fleury et Letang font partie de tous les traîtres.
Conclusion : Fleury et Letang devraient être pendus.
“Un direct dans la mâchoire d'un traître est une façon trop facile de résoudre les problèmes de l'existence”, disait Charlie Chaplin. Ben justement, moi les affaires compliquées, j’aime ça. Amenez-moi des tournevis qu’on monte l'échafaud.
On reconnecte un moment donné.
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