Lindstrom à Montréal
Ce titre nous aurait bien fait plaisir en 1998, mais 1998, c’est l’année de naissance du Lindstrom que Canadien vient d’acquérir. Le prénom de ce joueur du Détroit n’est pas Nicklas, mais bien Gustav, ce qui nous donne l’impression que les prénoms anciens sont aussi à la mode en Suède. De toute façon, Nicklas s’appelle Lidstrom et non pas Lindstrom. C’est comme la différence entre Lefebvre et Lefèvre. Deux familles complètement différentes.
On disait dernièrement de Gustav Lidstrom que l’adversaire a tendance à compter beaucoup de buts lorsqu’il est sur la glace, qu’il ne s’est pas amélioré depuis deux ans et qu’il se magasinerait une équipe en Europe. Ça fait rêver.
Kent Hughes obtient aussi un choix conditionnel de 4e ronde et retient 50% du salaire de Petry. Au final, il aura échangé Hoffman et Pitlick contre des choix de repêchage, des joueurs de la ligue américaine et un gardien numéro deux et demi.
Possiblement qu’aucune de ces acquisitions ne jouera avec l’équipe, ce qui est une excellente nouvelle puisque, selon ce que l’on a entendu sur les tribunes sportives, presque tous les jeunes joueurs de Canadien sont voués à devenir des joueurs de concession, ou au moins des supervedettes. Leur temps de glace est maintenant assuré et l’avenir de Canadien aussi.
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