Montembault numéro 1, et même plus
On se disait hier que la seule chose qui pourrait remettre du pep dans le soulier de l’amateur déprimé serait de bien faire contre le Rangers, qui est, selon ceux qui suivent d’autres équipes que Canadien, une équipe assez bonne. Ce qui devait arriver arriva, l’amateur a retrouvé sa joie de vivre. Dans ta face, Prozac!
L’exercice n’aura pas été facile et le New York nous a presque fait le coup de la remontada historique. On croyait que c’était dans la poche, mais la poche était moins profonde que prévu. N’eût été de Samuel Montembault, les carottes étaient cuites. Ça lui aurait peut-être plu d’ailleurs, parce que selon des rumeurs confirmées par trop d’articles à ce sujet, Montembault aime grignoter. Reste qu’il semble maintenant clair que Montembault est un numéro 1, si ce n’est pas plus.
C’est en fusillade que la chose s’est décidée, et ce, même si Ylonen a raté son tir. À ce sujet, on apprenait récemment qu’Ylonen jouait avec un petit petit petit bâton. Plus court que celui de Caufield. Un cure-dent, pour ainsi dire. On s’est longuement questionné sur les techniques de « tapage » de bâton de Slafkovsky, mais on passe outre le fait qu’il manque un pied au bâton d’Ylonen. Il nous semble qu’il faudrait enquêter là-dessus.
Des joueurs que plusieurs jugeaient avant-hier incapables de prendre la relève des blessés ont su prendre la relève des blessés, ce qui invalide complètement l’hypothèse initiale. Or ce qu’il y a de bien avec les analyses des activités de Canadien, c’est qu’elles ne durent qu’un court laps de temps. Aussi court que le bâton d’Ylonen.
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