Patrik Laine, magicien de la friteuse
Laine était lui-même le mentor de la recrue Adam Fantilli la saison dernière. Visiblement, il l’avait pris sous son aile (de poulet) puisque ce dernier a déploré son départ, révélant par la bande que Laine était un cuistot hors pair et un magicien du air fryer.
Selon des sources qui ont des sources, Patrik Laine arriverait à Montréal en fin de semaine pour aller faire un peu de magasinage de maisons hors de prix dans un quartier de maisons hors de prix et toutes identiques à Brossard. Espérons que Kent Hughes ne lui a pas dit que Montréal, c’était l’Europe en Amérique, parce que le pauvre ne s’en remettra pas. On peut douter que l’hiver à Brossard lui rappelle la Finlande. Emmitouflé dans son chandail de Laine, il regrettera peut-être ses choix de vie (oui, toute cette phrase était un détour pour faire un jeu de mots).
D’ailleurs, on a dit beaucoup de choses sur Laine depuis l’annonce de son échange, mais s’il y en a une qui n’est pas encore claire, c’est de quelle façon il faut prononcer le nom « Laine ». Layené? Léné? Lène? Certains disent même « Lane », comme dans « Patrik Lane Hutson ». Selon nos recherches et après avoir cliqué sur le premier résultat dans Google, il semble que « Layené » soit la bonne prononciation. Prends des notes, Félix Séguin.
Dans la foulée de l’échange, les experts sportifs devenus momentanément psychologues ont aussi beaucoup évoqué l’idée de munir Laine d’un chaperon, d’un mentor ou d’un garde du corps qui pourrait l’empêcher de jouer trop longtemps à Fortnite. Selon nous, activer le contrôle parental sur ses appareils serait suffisant, mais bon. Tout ça est un peu farfelu, puisqu’on a appris que Laine était lui-même le mentor de la recrue Adam Fantilli la saison dernière. Visiblement, il l’avait pris sous son aile (de poulet) puisque ce dernier a déploré son départ, révélant par la bande que Laine était un cuistot hors pair et un magicien du air fryer.
Il nous semble qu’il s’agisse là d’un fait très encourageant pour Canadien. Un hockeyeur qui sait cuisiner saura aussi s’appliquer à bien faire les petites choses et suivra les recettes de Martin St-Louis à la lettre. C’est la promesse d’un succès assuré. Ça fera différent des Josh Anderson ou Joel Armia, que l’on n’imagine pas cuisiner un bœuf Wellington. Ça sent bon, pour Patrik Laine.
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