21 févr. 2020
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Sylvie D'Amours, après qu'on l'eut accusée de ne pas s'être préparé pour une rencontre avec des autochtones
Quand on se prépare, on est dans notre sécurité de vouloir bien faire les choses. On ne veut rien oublier. Quand on regarde ça de l'autre côté des Premières Nations, quand c'est eux qui sont concernés, c'est du paternalisme et du colonialisme. Alors, oui, je n'étais pas préparée. Et je suis très fière d'être la première ministre des Affaires autochtones de ne pas avoir été préparée pour cette première rencontre.
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